Réflexion sur la diversité, au Kenya... et au Canada
Selon vous, le Kenya offre-t-il la priorité, à compétences égales, aux minorités visibles, pour les emplois de qualité, dans son gouvernement?
Prenons un moment pour parler du Kenya. Est-ce que quelqu'un peut me trouver leur politique gouvernementale sur la diversité?
Parce que sur une population estimée de 57,223,789 de personnes, seulement (environ) 42,868 seraient... blancs.
https://www.worldometers.info/world-population/kenya-population/
https://en.wikipedia.org/wiki/White_people_in_Kenya
Clairement, le Kenya ne fait absolument pas les efforts d'immigration massive pour faire entrer la "diversité" à pleines portes.
Pourquoi?
Le Kenya ne voit-il pas l'urgence de miser sur la diversité, comme le font Justin Trudeau, Joe Biden, Emmanuel Macron, Rishi Sunak, Mark Rutte ou Olaf Scholz?
Aussi...
Est-ce que le Kenya a un "Règlement sur l’équité en matière d’emploi", comme au Canada, où la priorité est donnée, à compétences égales, aux minorités visibles?
https://laws-lois.justice.gc.ca/fra/reglements/dors-96-470/index.html
On peut dire sans se tromper que les blancs sont une minorité visible au Kenya alors profitent-ils d'avantages systémiques, au plan professionnel, eux aussi?
La réponse est non, bien entendu.
Le Kenya favorise les Kenyans et c'est bien normal. Exactement le contraire de ce qui se passe, bien trop souvent, au Canada et c'est pourquoi, des milliers de décisions "mondialistes" plus tard d'inclusivité, de diversité et (wait for it) de diversité, on se retrouve avec un pays dont les "élus" vont jusqu'à s'agenouiller devant Black Lives Matter et normalisent le transgenrisme qui surfe sur la vague de wokisme débridé qui contribue à détruire l'institution de la famille nucléaire.
Pensez-vous que les transgenres sont promus à la télé nationale, au Kenya?
Évidemment que non, leur but n'est pas de normaliser ce qui divise et détruit leur peuple.
Au Kenya, ils sont parfaitement conscients que s'ils passaient leur temps à concevoir toute les politiques pour le bénéfice des autres, ils finiraient par... s’affaiblir ou disparaître.
Ce n'est pas raciste que de prioriser les siens. Comme le font les Kenyans.
De ce fait et c’est important d’insister sur ce point, on ne peut pas traiter les Kenyans de racistes parce qu'ils priorisent les Kenyans.
Pourquoi alors est-ce rendu impossible, au Canada, pour les "élus", de prioriser... les Canadiens?
Qu'importe leur origine, les Canadiens forment l'idéologie collective qui se veut ouverte sur le monde mais consciente de l'importance de continuer à exister. Et pour ça, il faut remettre les énergies sur... nous.
Comment?
Et bien, voici des pistes à explorer.
Immédiatement, il faut couper le financement aux Nations unies et à l'OMS ainsi que l'importation de leurs idéologies trop souvent subversives et toxiques.
Idem pour le Forum économique mondial (FEM) de Klaus Schwab qui travaille, officiellement, main dans la main avec l'ONU.
Idem pour toutes ces "organisations caritatives", les OBNL et les "Fondations" qui se gavent de nos MILLIARDS en fonds publics, année après année pour... on ne sait même pas quoi, exactement (pensez aux "oeuvres" de l'Aga Khan... à l'autre bout du monde et sans suivis diligents, digne de ce titre... on laisse les autres décider avec NOTRE ARGENT).
Idem pour les mouvements financés directement ou non par la pieuvre des Open Society Foundations de George Soros, très spécifiquement qui veut tuer l'Occident, au sens large.
Idem pour McKinsey et Boston Consulting Group (BCG) dans les contrats publics. Et une interdiction formelle de nuire aux Canadiens, de quelque manière que ce soit (une directive qui devrait d'ailleurs s'appliquer à toutes les firmes de consultants).
Les Kenyans sauront s'occuper de leur propre destin mais ce qui m'inquiète, c'est de voir que les "élus" d'Ottawa sont nombreux à travailler, jour après jour, pour limiter les Canadiens tout en les appauvrissant.
Il arrive qu'on comprenne mieux ce qui ne va pas dans notre pays en regardant ce qui se passe ailleurs. Ailleurs que dans notre champ de perception habituel.
Donc, si les "élus" libéraux, néodémocrates et bloquistes sont tellement désespérés pour importer la diversité au Canada, peut-être qu'ils se sont juste trompés de pays. Peut-être qu'au fond, ce qu'ils veulent, c'est de vivre au Kenya où, là, enfin, ils pourraient vivre la diversité de leur vivant.
Une diversité noire, presqu'entièrement noire et... diverse comme aucune population blanche ne pourra jamais l'être, selon les critères complètement détraqués du wokisme, en guerre permanente contre les blancs, où qu'ils soient (avec les armes du "privilège blanc" et de la désignation d'oppresseur-blanc qui doit accorder de coûteuses réparations, probablement pour toujours).
Au fond, ceci a tout à voir avec la survie des blancs, au Canada.
De la même mesure que ça a à voir avec la survie des noirs, au Kenya.
Alors que ce n'est absolument pas un problème au Kenya, avec l'effort inédit des Libéraux, Néodémocrates et Bloquistes pour importer plus d'un demi-millions de nouveaux arrivants par année, ici, on est forcés de s'interroger.
Au fond, ceux qui immigrent au Canada choisissent de venir vivre une expérience... Canadienne. Ce serait important de continuer de leur offrir cette expérience, non?
On peut se diluer jusqu'au point de ne plus exister et commencer à se poser des questions à ce moment-là mais avec l'immigration massive (et record) qui a lieu, en ce moment-même, nous nous retrouvons forcés de faire le point sur la RÉALITÉ de ce que cette immigration signifie, aussi bien pour nous que pour ceux qui viennent nous rejoindre.
Notre avenir peut ouvrir la porte à des immigrants du monde entier car nous les aimons, pour vrai.
Mais ça ne devrait pas dépasser nos capacités d'accueil, nos moyens ou même, nos consensus sociaux.
Et si nous sommes sérieux dans notre désir d'aider les autres, les plus de 7 milliards d'autres humains, l'idée serait de les aider où ils se trouvent et non de les "importer", ici.
Ça pourrait passer par un très vaste éventail de mesures, à commencer par une diplomatie renouvelée et axée sur des conditions qui favorisent l'épanouissement de chaque personne. Aussi, des efforts de partage mutuel de connaissances, de méthodes et de diverses sagesses.
Autrement dit, le Canada peut briller avec le monde sans essayer d'importer ici les lumières qui auraient très bien pu briller, là où elles se trouvaient.
Ces questions ne sont presque jamais abordées par nos "élus" qui reprennent les mantras mondialistes. Le "capitalisme des tenants" ou des actionnaires, ultra-riches et "partenaires" des cercles onuso-schwabbistes suisses n'est pas fait pour nous. Il est fait pour... eux.
Le Kenya est un pays formidable mais ils ont leurs propres défis. Le Canada aussi mais si le Kenya exportait des MILLIARDS de dollars d'argent public par année pour laisser des étrangers à Genève décider à leur place, éventuellement, le Kenya pourrait ne plus être favorable aux Kenyans mais bien aux "tenants du capitalisme mondialiste" qui font du business, au Kenya.
Heureusement, nous vivons ensemble au Canada dans un moment de notre histoire où nous avons envie de réussir, ensemble. Mais les "élus" d'Ottawa, au-delà de leurs slogans creux, n'agissent pas comme si c'était ce qu'ils voulaient. Eux, ils divisent pour régner.
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