Vous cherchez un nouvel emploi, en tant que travailleur non-"vacciné"-COVID?
Comme le démontre cet exemple (un parmi tant d'autres) pour un emploi de "Spécialiste, communications web" auprès de la Société canadienne de la sclérose en plaques (SP), sans "vaccin"-COVID, il est IMPOSSIBLE d'obtenir le poste.
https://www.linkedin.com/jobs/view/2973576641/
Cette situation est inadmissible.
C'est totalement légal, permis et même admis, dans les cercles pro-"vaccins" mais du point de vue d'un travailleur non-vacciné qui souhaite occuper un poste pour lequel il est qualifié, c'est perçu comme inadmissible et c'est à juste titre car le statut vaccinal n'est plus un choix mais une obligation, pour avoir "la possibilité" d'occuper certains postes.
L'employeur est super, le poste est super mais l'obligation "vaccinale"-COVID, elle, ne l'est pas, du tout.
Même un travailleur "vacciné" devrait s'offusquer qu'une forme de ségrégation soit en train de s'installer, sous ses yeux. À plus forte raison, les dirigeants et les responsables de ressources humaines devraient être les premiers à s'y opposer alors que ce sont eux qui deviennent les porte-étendards de cette dérive vers un monde parallèle où tous les employeurs doivent relever leur manche, aussi souvent que nécessaire pour être considérés "complètement vaccinés".
Là, ce sont les 2 ou 3 ou 4 doses qui sont OBLIGATOIRES chez certains employeurs mais ne perdons pas de vue que ces "cibles vaccinales" sont mobiles. Et tous les employés actuels devront continuer de "consentir" pour avoir le droit de continuer à occuper leur poste.
Même si c'était "facultatif", ce serait malaisant mais là, ça se présente comme une obligation, d'où l'impression, pour de nombreux Canadiens qu'il s'agit d'une dérive inadmissible qui menace d'aspirer, à terme, tous les travailleurs, dans un vortex d'obligations "vaccinales", partout... et pour toujours.
Au moment de publier ceci, quelques 43 candidats auraient fait suivre leur CV via LinkedIn et s'ils l'ont fait, on peut imaginer qu'ils soient "complètement vaccinés contre la COVID-19".
Du coup, l'employeur n'aura aucune difficulté à combler son poste.
Mais...
Pour les travailleurs qualifiés, motivés mais ayant choisi de refuser de consentir aux injections expérimentales, c'est perdu d'avance.
Et ce blocage professionnel est en train de s'imposer comme une "nouvelle normale"-COVID.
Au fil du temps, les employeurs vont probablement en venir à banaliser cette exigence, comme s'il s'agissait d'une simple formalité, or, il n'en est rien.
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Les employeurs, comme dans ce cas-ci, ajoutent souvent des segments à propos de l'égalité des chances mais avec l'obligation d'être "vacciné"-COVID, ça perd son sens.
Voyez comment l'employeur présente la chose:
"Notre objectif est de veiller à ce que tous les employés, les bénévoles et les personnes intéressées à se joindre à notre équipe aient des chances égales et que notre organisation soit représentative de toutes les couches de la société."
En tout cas, la couche de la société qui n'est pas "vaccinée", elle, ne sera JAMAIS représentée chez cet employeur.
Et juste après, ce même employeur ajoute:
"Nous encourageons tous les candidats qualifiés à postuler."
Mais encore-là, c'est contradictoire... et quelque peu trompeur parce que d'encourager un candidat non-"vacciné"-COVID à postuler (parce qu'il est bel et bien qualifié) alors que l'employeur exige qu'il soit "vacciné" revient à lui faire perdre son temps et même, à lui donner un faux espoir.
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Comme je l'ai dit plus haut, les exemples de ce genre sont vraiment nombreux et chaque fois, il y a un verbiage un peu différent mais qui revient pas mal toujours au même, à savoir que l'employeur entend "protéger la santé et la sécurité des employés" et qu'en ce sens, la "vaccination"-COVID s'avère OBLIGATOIRE.
À mon sens, il s'agit d'une rupture du contrat social le plus fondamental, en regard du principe de l'égalité des chances.
C'est également un affront au principe de la "diversité en emploi" et ce, sur plusieurs fronts.
Par exemple, si un travailleur noir non-"vacciné"-COVID veut occuper un poste, sera-t-il victime, lui aussi, de discrimination contre les non-"vaccinés"? Si oui, ça voudrait dire que que le principe de "diversité" serait ignoré pour satisfaire à l'obligation des injections.
Et que dire d'une femme autochtone handicapée et non-"vaccinée". Serait-elle discriminée, elle aussi?
Pour un homme blanc non-"vacciné", là encore, c'est totalement inutile de postuler parce que l'obligation "vaccinale"-COVID devient le mur infranchissable que des employeurs entretiennent, entre eux et les candidats qui voudraient occuper leurs postes.
Au plan social, une telle imposture est intenable.
Personne ne peut tolérer que les non-"vaccinés"-COVID deviennent des lépreux professionnels.
La société ne fonctionne plus lorsqu'elle tolère l'exclusion systémique d'une importante part de celle-ci.
Comment se fait-il qu'aucun élu ne semble capable de dénoncer cette inexcusable dérive, en matière de recrutement et d'exigence professionnelle?
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Q = "Ton nom" et R = "Claude"
Sans vous, rien n'est possible.
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La maladie qui affecte le Québec présentement se nomme le sanitarisme !!