Nos institutions sont occupées... mais par qui, exactement?
Le temps se prête à la réflexion et il faut se demander où l'on va, à partir d'ici. Il s'agit d'une réflexion aussi personnelle que sociale.
L'occupation de nos institutions précédemment démocratique se poursuit, au fédéral, au provincial et au municipal, dans les plus grandes villes.
Ça ne veut pas dire que tout le monde qui y travaille y soit en faute.
En fait, ça nous sert à pratiquer notre discernement afin d'identifier les tenants de la mondialisterie invasive, principalement étrangère qui agit de manière planifiée, disciplinée et soutenue, contre nous.
Contre les peuples qui ont graduellement remis toujours plus de pouvoirs à ces tenants, croyant se rendre service en le faisant mais nous constatons aujourd'hui, après environ 3 ans de covidisterie qu'il s'agissait là d'un transfert mal avisé, naïf... et ruineux.
Individuellement et collectivement, il nous faut prendre un moment pour réfléchir.
Réfléchir à comment nous allons pouvoir exercer notre plein potentiel dans un contexte où des tenants choisissent de s'enrichir à nos dépens, hors du consensus que l'on a jadis cru implicite de bienveillance.
Je les appelle "tenants" par souci d'exacerber leur statut de bénéficiaires permanents de leurs propres larcinitudes déguisées en "progrès".
Il s'agit de les reconnaître, où qu'ils soient et quelques soient leurs "choix" vendus à coups de peurs et de rapports secrets (comme ceux de McKinsey, achetés avec notre argent, par la CAQ et exclusivement pour la CAQ).
Des slogans comme "sûrs et efficaces" sont mieux compris, aujourd'hui, par ceux qui ont pris le temps de faire leurs propres recherches plutôt que de se fier naïvement à des gens qui s'unissent pour entretenir les narratifs qui les avantagent, eux.
Et quand un amateur de tartelettes portugaises se tape sur la main en prétextant vouloir "2 semaines pour aplatir la courbe", les gens qui usent de leur discernement comprennent que c'est un piège.
Certains l'avaient compris "en direct" mais la grande majorité des Québécois avait acheté la peur et la soumission qui vient avec au lieu de prendre un pas de recul et réfléchir, par eux-mêmes.
La peur a été le pire guide, pour nous tous.
De manière à peine croyable, certains se soumettent encore et encore à la peur. Sont-ils à ce point terrifiés de réfléchir par eux-mêmes? Sont-ils rendus si loin dans leur soumission aux politico-larcinistes qu'ils ont "peur" de respecter leurs propres ressentis?
Alors voilà.
Après près de 3 ans de covidismo-mondialisme schwabbien, il faut de se demander "où allons-nous", en solo, en familles, en groupes et en société.
-- --
Pour ceux qui comprennent que tout ce travail ne peut exister que grâce à vous, voici mon lien dans Donorbox, en souhaitant que vous m’aiderez:
Sans vous, rien n'est possible.
--
Si vous préférez m'aider via Interac:
Courriel: cgelinas@logixca.com
Réponse: Claude
Merci de rayonner en conscience, jusqu'à moi et de continuer à m'appuyer.
--
Archive: https://forum.chaudiere.ca/viewtopic.php?t=4770
-- --