Le prix du baril de pétrole a dépassé les 115$
Quelque part, en ce moment, des oligarques du pétrole sont réunis pour sabrer des rivières de champagne.
https://prixdubaril.com/
Le prix du baril de pétrole a bel et bien dépassé la barre des 115$ ce qui va éventuellement exercer une pression haussière sur le prix d'absolument tout ce qui est transporté du point A au point B.
115$ le baril.
Un jour de fête pour les oligarques pétroliers et une très mauvaise nouvelle pour... à peu près tout le monde.
Même si l'Alberta devait profiter de cette hausse, ça ne reviendra au Québec que beaucoup plus tard et via le gouvernement, ce qui assure que ces milliards vont vraisemblablement aller pour la "lutte à la crise climatique" bien avant de régler des problèmes immensément plus pressants, dans la population.
Autrement dit, imaginez des moyens d'éviter d'avoir à vous véhiculer matin et soir... priorisez les milles variations de télétravail afin de limiter vos dépenses liées au pétrole.
La situation est encore jouable pour la classe moyenne mais des budgets déjà serrés vont l'être encore plus au moment où les salaires ne montent pas, dans la même proportion (ou ne montent pas, du tout).
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Nous sommes à une nouvelle croisée des chemins où nos choix vont avoir une grande importance.
Les mesures-surprises constituées de sanctions occidentales (OTANistes) contre la Russie garantissent que le cours du pétrole va continuer de monter.
Les oligarques pétroliers occidentaux s'enrichissent mais c'est aux dépens des peuples qui, eux, s'appauvrissent.
Les classes politiques occidentales ne semblent pas préoccupées des effets délétères de leurs positions décidées et décrétées dans notre dos, à nos dépens et contre notre meilleur intérêt.
Une fois de plus, c'est la machination covidiste qui change de nom pour appauvrir une fois de plus le peuple canadien avec ce que certains pourraient qualifier d'ukrainisme.
L'ukrainisme a pour effet d'expédier des fonds énormes au gouvernement de Volodymyr Zelensky, en Ukraine sans aucune forme de traçabilité ou de garantie quant à l'usage réel qui est fait de ces centaines de millions et sous peu, si l'on se fie à la tendance, de milliards.
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Comme pour la "lutte au COVID", les sanctions contre la Russie signalent une vertu wokiste qui ne va absolument pas dans le sens de trouver une solution mais plutôt de créer une nouvelle collection de problèmes que les classes politiques et leurs souteneurs pourront utiliser pour piller, une fois de plus, les peuples qui --comme dans le cas de la COVIDisterie-- n'y verront que du feu.
Incroyable, non?
Autant le conflit pourrait se régler avec un repli de l'OTAN qui cesserait de vouloir s'installer en Ukraine, autant on comprend que la classe politique a flairé le filon et tente de jeter autant d'huile sur le feu qu'elle le peut.
- Sanctions contre la Russie, fonds pour l'Ukraine;
- Campagnes de salissage contre des produits et personnes d'origine russe ou habitant en Russie;
- Doxing virtuel insistant et déflexion de l'attention politique vers la seule situation en Ukraine...
On voit qu'il y a un effort de groupe (des initiés) à traire ce conflit pour tourner la page sur les horreurs de la gestion-COVID tout en manufacturant un nouvel ennemi commun au lieu de travailler à bâtir des ponts.
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Donc, 115$ le baril.
Ça veut dire que votre prochain plein d'essence va faire mal.
Vos épiceries à venir, aussi.
Et absolument tout le reste va y passer car tout le monde augmentera ses prix pour aller jusqu'à la limite de ce qui peut encore être payé par des gens de plus en plus épuisés, financièrement.
Les riches initiés ne "sentiront" absolument rien -- leurs fortunes les protègent de ces "soubresauts" économiques mais pour une majorité de gens, la canne de soupe qui passe de 1,99$ à 2,99$, ça paraît... et ça fait mal.
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Le contrat social de gestion diligente et prudente par les différents paliers de gouvernements a définitivement cessé d'être.
Déjà que les fleuves d'endettements liés à la COVID vont plomber le Canada pour des siècles (de manière réaliste), là, on apprend jour après jour de nouvelles exportations d'aides à l'Ukraine.
Tout pour alimenter le conflit, donc.
Et la hausse du prix du baril de pétrole, contre le meilleur intérêt des Canadiens.
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