Le fait que Justin "J'aime Zelensky" Trudeau veuille désarmer les Canadiens doit être interprété comme un drapeau rouge
Justin Trudeau n'en finit plus de vouloir désarmer les Canadiens mais ceux-ci devraient lui répondre qu'ils ne rendront leurs armes que le jour où lui, ses gardes du corps, ses policiers et ses militaires auront rendu les leurs.
Agir autrement reviendrait à préparer le terrain pour autant d'injustices que les "hommes armés" choisiront de perpétrer, autant qu'ils le désirent et sans limites car devant des gens... désarmés.
On a pu voir, au cours des 2 dernières années, à quel point la "Charte" n'est pas exactement utile quand un tyran d'une classe politique décide de décréter absolument tout ce qu'il veut, avec la complaisance intégrale et l'appui de son entourage.
La confiance, ça se gagne et pour l'heure, les classes politiques souffrent d'un déficit de crédibilité tel que leurs assauts contre les armes entre les mains des Canadiens cache mal leur intransigeance contre toute forme de frein à l'encontre de leurs plans inhumains.
C'est pourquoi les mots de Justin Trudeau contre ceux qui détiennent des armes de manière légale sont aussi dirigés contre nous tous. Que nous ayons des armes, ou non.
Et justement, ça donne le goût à des millions de Canadiens d'en avoir.
Pas tant pour s'en servir que pour rappeler la souveraineté assumée de chaque propriétaire légal et bienveillant que les injustices ne sont absolument pas les bienvenues, dans notre coin du monde, ni ailleurs mais ça, c'est une responsabilité pour les porteurs d'armes, là-bas, en assumant qu'ils n'aient pas déjà été désarmés et réduits à la soumission.
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Surtout lorsqu'il utilise l'argent des contribuables pour aider un voyou comme Zelinsky - a-t-il demandé l'avis des canadiens pour envoyer notre argent au lieu de régler tous les problèmes que nous vivons actuellement. Tous ces sans-abris qui dorment dans les métros ou dans les parcs, tous ces toxicomanes qui font la manche dans les rues, tous ces jeunes de plus en plus perdus qui fument du pot qu'il s'est dépêché de légaliser et maintenant nous avons des députés qui veulent autoriser les drogues dures. Mais où veulent-ils amener ce pays ? Où sont passées les valeurs fondamentales et la famille ?