Le Canada s'en remet au GIEC pour le calcul du stock carbone des forêts boréales
C'est un exemple parmi de nombreux autres où le régime Trudeau fait entrer le loup onusien dans la proverbiale bergerie canadienne, en éloignant les Canadiens de leur propre potentiel d'auto-gouverne.
Au cours d'un débat au Sénat, le mercredi, 14 décembre 2022, voici ce que le ministre des Ressources naturelles libéral Jonathan Wilkinson a dit:
"Le Canada tient effectivement compte de tous ces éléments. Nous utilisons des lignes directrices reconnues par le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC).
Certains organismes environnementaux estiment que certaines de ces lignes directrices devraient être différentes ou modifiées. Nous avons communiqué avec certains d’entre eux, notamment Nature Canada et le Natural Resources Defense Council.
Nous discutons avec ces organismes, mais, bien sûr, le Canada ne veut pas inventer ses propres lignes directrices.
Nous voulons travailler de concert avec nos partenaires internationaux, et c’est ce que nous faisons régulièrement."
https://sencanada.ca/fr/content/sen/chamber/441/debates/092db_2022-12-14-f#13
Le lieutenant trudeauiste répondait au sénateur indépendant Paul J. Massicotte en regard du stock de carbone dans les forêts boréales du Canada.
Ce qui frappe, c'est que d'entrée de jeu, Wilkinson remet le pouvoir de mesurer le carbone au GIEC onusien.
Un groupe étranger qui n'a jamais été élu par les Canadiens.
C'est comme si le régime-Trudeau gouvernait pour appliquer ici les consignes et directives de l'ONU. Ça a pour effet d'annuler la capacité pour les Canadiens d'exercer un réel pouvoir sur leur propre destinée, en regard (dans ce cas précis) du calcul du carbone stocké dans nos gigantesques forêts boréales canadiennes.
Un calcul qui est devenu intentionnellement "fondamental" parce que ça offre un contrôle quasi-total à la classe de décideurs mondialistes.
L'opinion public peut donc être ignorée par le GIEC a parlé.
Pratique, non?
Les Libéraux trudeauistes jouent la carte du GIEC à fond lorsque Wilkinson ajoute "le Canada ne veut pas inventer ses propres lignes directrices" et ça, c'est l'insulte larbinisto-libéraleuse qui s'ajoute à l'injure mondialisto-onusienne.
En gros, c'est le GIEC qui mène nos politiques nationales, en matière de calcul du carbone et ça fait le bonheur du Clan Trudeau.
Par libéralisterie interposée, ce sont des étrangers qui dirigent le Canada et non les citoyens.
Je tenais à vous fournir un exemple concret de l'influence devenue inadmissible des Nations unies et de ses tentacules, comme le GIEC, dans la gouverne du Canada.
C'est le même problème dans les autres gouvernements mondialistes, d'ailleurs mais comme nous sommes Canadiens, cette déclaration du ministre libéral Wilkinson ne peut pas être banalisée ou ignorée.
En fait, cette position d'asservissement à peu près totale de Wilkinson aux maîtres GIECistes étrangers doit être exposée et dénoncée parce qu'elle ne provient pas d'un consensus de la base citoyenne.
Comme si ce n'était pas assez...
La dernière phrase du ministre fédéral Wilkinson ne devrait laisser personne indifférent lorsqu'il dit:
"Nous voulons travailler de concert avec nos partenaires internationaux, et c’est ce que nous faisons régulièrement."
Euh...
Pourquoi vouloir gouverner le Canada "de concert" avec des étrangers?
Juste là, ça ouvre toute grande la porte à de l'ingérence étrangère et au fait, qui son ces "partenaires internationaux", exactement?
Qui siège sur leurs conseils? Où prennent-ils leurs informations et données? Sont-ils financés par des organisations mondialistes, comme la FBMG, le Wellcome Trust ou les Open Societies de George Soros?
Toutes ces questions demeurent occultées et c'est voulu ainsi parce que ça agit comme un écran entre la classe libéralo-mondialiste et le peuple.
Une excuse facile du genre "on suivait le calcul du GIEC"...
Finalement, pour couronner le dernier acte de ce théâtre grotesque de perte graduelle de notre pouvoir d'État national, c'est son tout dernier segment où Wilkinson dit "c’est ce que nous faisons régulièrement".
Alors ça, c'est le paroxysme de l'arrogance, sur fond d'hypocrisie mondialiste persistante.
Wilkinson avoue que lui et les siens "le font régulièrement".
Ça ne laisse pas trop place pour l'interprétation.
Vu de cet angle, on se doute que le Canada souffre actuellement d'une forme insidieuse d'infiltration de la classe mondialiste dans des activités de gouverne d'État qui devraient demeurer strictement dans le giron national. J'insiste: strictement.
Alors voilà, vous comprenez mieux comment, une unité de technocratie étrangère à la fois, on se fait jouer par la Libéralisterie trudeauiste qui ouvre toutes grandes nos portes aux mondialistes du GIEC et de l'ONU.
Vous devriez en parler avec votre député mais surtout, nous devrions avoir des discussions franches à ce sujet, entre nous parce que les élus actuels semblent pas mal confortables avec ce genre de politique étrangère en toutes choses.
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Réponse: Claude
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