La militarisation graduelle des concepts associés aux "soins de santé génésique"
Voici comment le mot "génésique" est habilement retourné contre le concept-même de genèse de la création qui le sous-tend.
La génésique.
Savez-vous c'est quoi?
C'est ce qui se rapporte à la génération et à la reproduction des êtres vivants. C'est un mot dérivé du concept de la genèse de la création. Un mort très puissant, donc.
Ce mot est cependant repris pour l'agenda de dépopulation.
Prenons le cas de l'amiral Rachel Levine, l'assistante secrétaire à la Santé, sous Joe Biden, aux États-Unis qui, dans un tweet du 26 décembre 2022, indique que la santé reproductive dont vous pourriez avoir besoin est disponible.
Euh...
Pourquoi lancer ce message, très spécifique, le lendemain de Noël?
Rachel Levine nous invite à en savoir plus à ce sujet en consultant le site web intitulé "reproductive rights" que voici:
https://reproductiverights.gov/
Et c'est là qu'on retrouve le slogan bien en vue qui contient l'extrait "Reproductive Health Care" qui peut être traduit au français par "soins de santé génésique", d'où mon observation de départ à propos de ce mot.
Ça me semble significatif que le lendemain de Noël, le premier "conseil santé" tweeté par Rachel Levine soit d'insister très fort sur "l'accès à la contraception et à des soins d'avortement".
Pourquoi l'administration Biden met-elle autant d'emphase sur la contraception et les "soins" d'avortement?
Dans l'imaginaire collectif, la "santé génésique" se retrouve donc réduite à rappeler des "droits" de pouvoir éviter la conception biologique d'un enfant.
Ça arrive d'ailleurs, ô coïncidence, à une époque où le concept d'EctoLife est circulé, soit la croissance de bébés dans des utérus mécaniques. Disons que ça donne à penser qu'il existe une volonté de décourager la vie biologique pour ouvrir la voie aux alternatives synthétiques, vous ne trouvez pas?
Rachel Levine et l'artiste Hashem Al-Ghaili qui a créé le concept d'EctoLife ne sont pas réputés se connaître ou travailler ensemble mais ils se retrouvent cependant à combattre la vie, chacun à sa manière. Le premier via des "soins de santé génésique" et le second via l'idée de créer des bébés, personnalisables et achetables, comme n'importe quel produit, dans des orbes transparents supportés par des machines.
Puisque ces deux éléments font partie de notre réalité, à mon sens, il faut en parler.
Et ce ne pas juste les Rachel Levine et Hashem Al-Ghaili qui doivent exprimer leur vision mais toute la société qui, trop souvent, demeure étouffée sous une lourde et sourde propagande d'État, alignée sur des visées technocrato-transhumaines manufacturées dans des cercles mondialistes corporato-centriques comme le Forum économique mondial (FEM) de Klaus Schwab ou les Nations unies d'António Guterres... ou d'autres cercles d'initiés, moins connus mais tout aussi bien financés et "motivés" à en découdre avec le "fait biologique" qu'ils ne contrôlent pas encore assez et sur lequel ils ambitionnent de s'arroger un contrôle inédit, voire intégral.
Nier cet agenda sombre reviendrait à nier la réalité qui nous est présentée, de manière incessante, via les têtes parlantes politiques, socio-prétendument-philanthropiques et sociales.
Nous sommes au point où il n'est plus possible d'ignorer que ce battage politico-sociétal vise à nous désensibiliser à la création biologique et naturelle de la vie entre un homme et une femme qui s'unissent pour engendrer leur progéniture et célébrer la puissance de la vie dans l'infinie complexité et finesse "naturelle" de celle-ci.
Pour en revenir à mon point initial, c'est la société dans son ensemble qui doit prendre acte de l'usage qui est fait du mot "génésique", aujourd'hui.
Alors qu'on aurait pu s'attendre à des "soins" pour le bénéfice de la conception naturelle, on constate, froidement que ce mot est en quelque sorte militarisé contre la fertilité naturelle, via le cheval de Troie des "soins" de "santé". Bien que l'avortement puisse être nécessaire et doive être rendu lorsque demandé, ça ne devrait pas être le premier réflexe-santé ayant trait à la génésique.
Le choix du mot "génésique" n'est pas banal.
En anglais, "reproductive health" n'est pas moins suspect car il sert exclusivement à paver la voie pour de la contraception ou des avortements. Quelle "santé" de la "reproduction" y a-t-il dans ces deux méthodes éprouvées pour supprimer la vie?
Même si la contraception et les avortements ont une place dans l'offre de soins pouvant contribuer à la santé-exclusive de la mère qui ne l'est-alors rapidement plus, ce que Rachel Levine fait revient à réduire la reproduction de l'espèce humaine à une série de choix, influencés par des bouches hautement médiatisées qui répètent inlassablement que la "santé reproductive" et les "droits" qui s'y rattachent reviennent essentiellement à en finir avec la vie biologique naturelle, d'une manière ou d'une autre.
Il y a donc cette avancée manifestée dans notre réalité mais on ressent aussi une offensive sombre dans nos mouvances psycho-sociales. Comme pour conditionner les comportements à venir des générations montantes. Qu'importe si ça choque ou offusque les précédentes générations qui, de toute manière, ne sont plus en âge de se reproduire, naturellement.
Ces considérations devraient faire l'objet d'une réflexion sociale actualisée et prenant compte de ces facteurs qui misent sur la polarisation de ce genre de débat pour engendrer des conflits plutôt que des jeux d'options mesurés et autrement plus raisonnable ou respectueux du fait humain le plus élémentaire qui est celui de pouvoir engendrer sa propre progéniture, naturellement.
Ce sujet touche à de nombreux autres qui cachent d'autres agendas politiques et commerciaux, comme la procréation assistée qui a de bons côtés et des potentiels moins lumineux, aussi. Encore une fois, c'est la société qui devrait pouvoir disposer de tribunes officielles pour faire le point sur ces thèmes mais on observe que les classes politiques réduisent celles-ci au néant, dans l'espoir de prendre toute la place afin d'imposer leur vision, à eux.
C'est donc un autre front réflexif contemporain où les gens doivent prendre toute leur place en prenant leur pouvoir, au lieu de le donner aux Rachel Levin et aux Joe Biden de ce monde.
On voit ce qu'ils font et on peut imaginer que notre action serait bien plus nuancée, équilibrée et humaniste.
Apprenez à reconnaître le mot génésique et remarquez à quel point il est souvent rachel-levinisé avec une insistance mur-à-mur pour tuer la vie d'un enfant à concevoir ou à naître.
En utilisant des mots comme "soins", bien sûr.
Au fond, la "santé génésique" ne devrait-elle pas être d'aider les mamans à... concevoir? Que la société serait différente si les mères recevaient les véritables "soins" dont elles ont besoin pour réussir leurs projets de maternité et de famille.
En ce moment, c'est un contexte social inutilement toxique avec les maladies largement intentionnelles et l'endettement strangulatoire qui nuisent à la vie et aussi, à l'espoir de pouvoir être capable d'engendrer celle-ci, avec la certitude que la société met le paquet pour favoriser... la création ou dans ce cas précis, la procréation.
Vos réflexions seront assurément nombreuses et bien qu'il ne soit pas question de se priver des avancées technologiques, il semble qu'un important recadrage doive avoir lieu, rapidement, afin d'éviter de poursuivre ce battage communicationnel en appui à cela-même qui insulte le concept fondamental de génésique.
En ce sens, croyez-vous que Rachel Levine a raison d'insister pour annoncer la contraception et les services d'avortement, au lendemain de Noël?
-- --
Pour ceux qui comprennent que tout ce travail ne peut exister que grâce à vous, voici mon lien dans Donorbox:
Sans vous, rien n'est possible.
--
Si vous préférez m'aider via Interac:
Courriel: cgelinas@logixca.com
Réponse: Claude
Merci de rayonner en conscience, jusqu'à moi et de continuer à m'appuyer.
--
Archive: https://forum.chaudiere.ca/viewtopic.php?t=4734
-- --