Justin va occuper une partie de son temps, alors qu'il est PM, à juger des "Drag Queens"
Le bon jugement de Trudeau doit-il être mis-en-doute étant donné ce choix devant lequel un grand nombre de Canadiens ne cachent pas leur surprise?
Il y a une obsession pour les “Drag Queens” accompagnant la montée du wokisme, au Canada.
D'ailleurs, Justin Trudeau fait partie des "juges invités" à "Canada’s Drag Race: Canada vs. The World".
https://forum.chaudiere.ca/viewtopic.php?t=4591
À mon sens, derrière le fla-fla des paillettes, il y a une exploitation éhontée de la misère humaine.
Je m'explique.
D'une part, il y a des gais, des queers ou même des transgenres qui tentent de s'intégrer à la société (et on ne leur souhaite que du bonheur, du moment qu'ils ne tentent pas d'hypersexualiser ou confondre des enfants) qui vont se faire juger par Justin Trudeau et d'autres juges qui, si l'on se fie à l'extrait dans YouTube, ajouteront au spectacle en poussant les participants à bout de nerfs.
Une espèce d'expérience télévisuelle… tordue.
Crave, une propriété de Bell Média, veut donc capitaliser sur les “Drag Queens” dans leur forme la plus visible pour faire sonner la caisse, probablement auprès de téléspectateurs discrètement wokophiles ou ouvertement wokes.
C'est pervers parce que ceux qui disent vouloir que les personnes queers ou trans s'intègrent bien vont rire des drames humains de “Drag Queens” qui vont être capturés, dans le cadre de l'émission.
Le concept ressemble à du sado-masochisme où les vertiges émotionnels intentionnellement provoqués feront, en quelque sorte, office de torture pour des participants qui, manifestement, pourraient ne pas toujours l'avoir eue facile, pour s'être rendus où ils en sont.
Advenant que des téléspectateurs réclament des épisodes plus rudes pour les concurrents, croyez-vous qu’ils prendraient pleinement conscience des marques que ça pourrait potentiellement laisser sur les humains, derrière les costumes flamboyants?
Pire, est-ce que ce serait-là exactement ce qu'ils recherchent?
Tout me semble malaisant avec cette série, du concept à la livraison visuelle clinquante et surfaite.
Du bling-bling pour mieux cacher les drames humains qui vont être exploités, à la vue de tous, pour du gros cash publicitaire car, on le voit, les mondialistes, comme chez MasterCard, carburent à la monétisation de la nébuleuse de la transgenritude, dans certaines de leurs publicités, comme dans celle-ci, pour "True Name":
Mais ce n'est pas tout.
Cette émission sera vraisemblablement vue par des jeunes de partout au pays. Combien d'entre-eux voudront “se questionner” sur leur genre et leur sexualité ou alors, décider purement et simplement de “transiter leur genre” vers un autre, en voyant défiler des costumes flamboyants?
La question se pose parce que déjà, de certaines écoles s'affichent ouvertement pro-trans, au point de cacher des informations aux parents et d'aider la mouvance trans à atteindre les élèves.
https://nypost.com/2021/12/22/how-public-schools-brainwash-young-kids-with-harmful-transgender-ideology/
Qu'une personne choisisse de se réaliser en cohérence avec son ressenti est une chose mais que ça devienne une mouvance qui se développe en partie sur des inquiétudes existentielles d'enfants, d'adolescents ou de jeunes adultes, c'est une autre chose.
Avec une série comme celle-ci où Justin Trudeau intervient à titre de juge invité, on comprend que des téléspectateurs impressionnables pourraient prendre un chemin qui n'est pas le leur. Celui, par exemple, d'une transition qui pourrait altérer leur vie de manière importante.
Sans connaître la structure du financement derrière cette série, il serait important de vérifier si des fonds publics sont impliqués et si Justin Trudeau reçoit une contrepartie pour son implication.
Et, finalement...
L'éléphant dans la pièce, à savoir que les "Drag Queens" s'approprient la féminité.
Les femmes commencent d'ailleurs à mieux prendre conscience que c'est leur fait-féminin qui est repris en caricature.
Ça a pour effet d'indisposer les femmes qui ont conscience que cette appropriation n'est pas venue d'un consensus social large mais bien d'une imposition du genre par des "Drag Queens" qui travaillaient dans des lieux réservés aux adultes, généralement gais et avertis.
Là, c'est la normalisation des "Drag Queens" et de l’idée d’hommes déguisés en femmes qui invitent, d’une certaine manière, à la normalisation des transitions de genre, à divers degrés. Autrement dit, un homme qui se déguise en femme et pour qui ça devient normal voudra peut-être éventuellement transiter, aussi. Chaque personne étant bien entendu unique et… différente.
Féminité
Quelle place a la féminité si celle-ci est reprise en moquerie par des "Drag Queens" qui, par ouverture, contribuent à normaliser le wokisme si cher à Justin Trudeau et à la cohorte de mondialistes qui privilégient cet agenda, partout en Occident (surtout) et dans le monde.
C'est comme si ça devenait admis de diminuer et de ridiculiser les femmes.
Banaliser la féminité, en quelque sorte, pour en faire... un spectacle... d'hommes!
Personne ne s'embête du fait que ça ait lieu, par exemple, dans des bars gais, entre adultes avertis mais là, c'est une série qui sera vue par un public qui, lui, n'est peut-être pas du tout "averti" ou suffisamment mature pour contextualiser tout ce qui est montré comme "normal".
Certaines femmes ont compris cet assaut contre leur fait féminin et ont décidé de manifester leur désapprobation.
https://www.churchmilitant.com/news/article/push-against-drag-grows-nationwide
Ces femmes (et de nombreux hommes) dénoncent ce qu'ils assimilent à de la perversion et on voit que des événements de lecture de "Drag Queens" à des enfants sont contestés, en tant que "sexualisation subversive":
foxnews.com/opinion/drag-queen-story-hours-radical-origins-subversive-sexualization-kids
Autrement dit, Justin Trudeau entraîne sa personne et la fonction qu’il occupe dans un contexte qui ne fait pas consensus, au Canada (ou dans le monde).
Ce faisant, il pourrait engendrer des froids diplomatiques avec des pays où le wokisme n’est pas encouragé de la même manière, qu’au Canada, par des classes décisionnelles (et riches) pro-wokes.
Ceci pourrait mener à des problématiques difficiles à prévoir et juste pour cette raison, sa décision de devenir juge invité pour cette émission fait questionner son jugement.
Certains iront peut-être jusqu’à trouver que son choix de devenir juge de “Drag Queens” entache la fonction de premier ministre du Canada et que ce serait suffisant pour déclencher des élections pour le démettre d’un poste duquel il ne mesure manifestement pas le sérieux, surtout dans un monde où la géopolitique changeante peut s’avérer, disons, surprenante.
Certains se réjouiront que Justin Trudeau soit juge invité pour qualifier des “Drag Queens” mais parions que des millions de Canadiens n’oublieront pas son emploi du temps lorsqu’ils devront affronter l’inflation dont il ne s’occupe manifestement pas comme il se doit.
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Réponse: Claude
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Claude, parce que tu penses que cet homme a un jugement. Il n'en a jamais eu et en aura jamais. Un cerveau lent...