Joly, Blinken et Mouynes déconstruisent en prétendant bâtir, ensemble
Ça n'a pas de prix, quand Mélanie Joly dit, le 8 juin 2022, vouloir (ahem)...
1) lutter contre la corruption;
2) renforcer la confiance du public en nos institutions; et
3) soutenir la démocratie.
N'importe quoi...
Avec l'odieux Anthony Blinken agissant à titre de secrétaire d'État sous Joe Biden ainsi que l'activisite (wait for it) "progressiste" et ministre des Affaires étrangères Erika Mouynes du Panama, Melanie Joly ne trompe personne (parmi ceux qui voient au travers de son théâtre).
Elle et son entourage démocrato-mondialiste demeurent le tout premier obstacle à quelque avancées significative que ce soit en regard de l'un ou l'autre de ces "thèmes" pan-Américains... ou les trois.
"Lutter contre la corruption" alors que le gouvernement-Trudeau a explosé l'endettement presqu'entièrement dans notre dos, sans notre consentement et unilatéralement contre notre meilleur intérêt national, choisissant l'approche mondialiste qui respire la corruption.
Des centaines de milliards pour les fournisseurs des attirails-COVID et des miettes pour les Canadiens.
La corruption trudeauiste disqualifie ce régime autocratique de toute discussion sur des thèmes aussi importants. Ça reviendrait à un manufacturier d'insecticide qui nous parlerait d'insectes. À part les tuer ou contribuer à les tuer, aucune discussion n'est réellement possible.
Joly, Blinken et Mouynes... ils peuvent bien s'assembler, ils représentent le même patron-ennemi des peuples.
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