BMJ: Les mandats de rappels-"vaccinaux"-COVID pour les étudiants universitaires sont contraires à l'éthique
Un essai paru dans le Journal of Medical Ethics qui dénonce de nombreux effets délétères de ces mandats vaccinocentriques.
Un essai publié, pour la 1ere fois, le 5 décembre 2022 dans le Journal d'éthique médicale conclut que les rappels "vaccinaux"-COVID, pour les étudiants, ne sont pas éthiques.
https://jme.bmj.com/content/early/2022/12/05/jme-2022-108449
Il faudrait que tous les administrateurs scolaires lisent cet essai du BMJ pour comprendre à quel point leur biais pro-"vaccinal", avec les rappels, va à contresens de l'éthique.
L'essai est intitulé "Rappels de vaccins contre la COVID-19 pour les jeunes adultes: une évaluation des risques et des avantages et une analyse éthique des politiques de mandat dans les universités".
Pour vous mettre en contexte à propos de cet important essai qui vient de paraître, je vous offre le résumé.
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En 2022, les étudiants des universités nord-américaines avec des mandats de vaccin COVID-19 à troisième dose risquent de se désinscrire s'ils ne sont pas vaccinés.
Pour évaluer la pertinence des mandats de rappel dans ce groupe d'âge, nous combinons une évaluation empirique des risques et des avantages et une analyse éthique.
Pour éviter une hospitalisation liée au COVID-19 sur une période de 6 mois, nous estimons que 31 207 à 42 836 jeunes adultes âgés de 18 à 29 ans doivent recevoir un troisième vaccin à ARNm.
Les mandats de rappel chez les jeunes adultes devraient causer un préjudice net: par hospitalisation COVID-19 évitée, nous prévoyons au moins 18,5 événements indésirables graves liés aux vaccins à ARNm, dont 1,5 à 4,6 cas de myopéricardite associée au rappel chez les hommes (nécessitant généralement une hospitalisation).
Nous prévoyons également 1 430 à 4 626 cas de réactogénicité de grade ≥ 3 interférant avec les activités quotidiennes (bien que ne nécessitant généralement pas d'hospitalisation).
Les mandats de rappel des universités sont contraires à l'éthique parce qu'ils:
(1) ne sont pas basés sur une évaluation stratifiée des risques et des avantages mise à jour (ère Omicron) pour ce groupe d'âge ;
(2) peut entraîner un préjudice net pour les jeunes adultes en bonne santé ;
(3) ne sont pas proportionnés: les dommages attendus ne sont pas compensés par les avantages pour la santé publique compte tenu de l'efficacité modeste et transitoire des vaccins contre la transmission ;
(4) violer le principe de réciprocité parce que les préjudices graves liés aux vaccins ne sont pas indemnisés de manière fiable en raison de lacunes dans les programmes de prévention des préjudices liés aux vaccins ; et
(5) peut entraîner des dommages sociaux plus larges.
Nous considérons les contre-arguments, y compris les efforts pour accroître la sécurité sur le campus, mais nous trouvons qu'ils sont pleins de limites et peu de soutien scientifique.
Enfin, nous discutons de la pertinence politique de notre analyse pour les mandats des vaccins COVID-19 de la série primaire.
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Cet essai va loin dans son constat des conséquences réelles nées d'obligations vaccinales dans des milieux universitaires, notamment aux États-Unis.
Parmi les dommages sociaux engendrés, on peut constater la présence d'une forme de ségrégation vaccinale.
Ça affecte, bien entendu, les non-"vaccinés" mais les "vaccinés" aussi sont touchés. Socialement, nous cumulons les traumas-COVID.
Alors voilà, assurez-vous de lire cet essai pour comprendre pourquoi l'éthique s'avère être un front qui ne tolère pas la doxa-"vaccinale" ambiante.
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